mercredi 13 mai 2009

Week end à la japonaise mais filé à l'anglaise

Je n’ai pas le temps d’écrire et pourtant ce n’est pas l’envie qui manque. Alors, pour faire rapide, je jetterai quelques mots pêle-mêle pour dire par exemple que ce week end j’ai eu la possibilité d’assouvir un de mes fantasmes, à savoir un plan à trois, mais le moment venu j’ai reculé devant l’obstacle. Je ne sais pas trop pourquoi, d’autant plus que l’un des deux était tout à fait charmant et chaud comme la braise. Peut-être est-ce l’autre qui ne me plaisait pas suffisamment. Peut-être suis-je trop difficile. Ou peut-être encore n’en ais-je pas vraiment eu envie, après tout. Un fantasme n’a de saveur que s’il est inassouvi et je crois que je préfère conserver ce goût de rêve pour ne le sacrifier qu’à une situation encore plus savoureuse. Je suis difficile, je sais, mais c’est ça qui est bon. J’aurais pu réaliser un autre truc un peu fou, ce week end, à savoir copuler en pleine rue de Paris (à quatre heure du matin, certes, mais ça compte quand même !). Je ne l’ai pas fait non plus. Je crois que je ne tirerai plaisir de cette situation que si j’ai dans mes bras un alter ego. Là, c’était plus une connaissance qu’un double donc non, ce n’était pas ce que je voulais, ce n’était pas ce qui m’aurait plu.

Pour parler d’autre chose, il y a un domaine dans lequel je préfère de loin les femmes aux hommes. Il s’agit de la danse (et du chant, dans une moindre mesure). Le constat est rapide : admirez une danseuse de flamenco en pleine action et comparez avec le danseur de la même catégorie. Ce dernier ne gardera pas beaucoup de regards braqués sur lui, face à une telle concurrence. Quoi de surprenant à cette remarque quand on se rappelle que les origines de la danse résident en grande partie dans la séduction.

Toujours est-il que, le week end dernier, j’ai passé une soirée chez un mec fou de clips et musiques du Japon. Après ma « soirée des 10 russes » et leur disco remixée, je voyage…

Les japonaises (il n’y avait pas de chanteur dans sa discographie, ou plutôt devrais-je dire clipographie) produisent des mélodies qui se rapprochent sensiblement de ce que les USA peuvent nous fournir de plus « authentique ». On n'est pas loin du dernier tube des Pussycat Dolls ou de l’ambiance des albums de Gwen Stefani… Ce que j’oublie de vous dire, c’est que ces mêmes mélodies asiatiques sont parfois sorties… plusieurs années avant leurs pendantes américaines ! En quelques sortes, les japonaises sont précurseurs de la musique américaine. Plus que de longs discours, il vous reste à chercher un peu sur Google si le sujet vous intéresse. Je ne vous donne aucun nom : je n’ai pas réussi à un retenir un seul ! Mais je ne pouvais pas manquer d’illustrer mes propos sans deux clips choisis de Namie Amuro. Entendons-nous bien pour le premier : je ne trouve pas la musique particulièrement transcendante ni la pseudo vue-photo de la chanteuse sur la lune en train de jouer à la petite sirène très utile, mais les « costumes noirs » me ravissent au plus haut point. Comme à mon habitude, je me devais de vous le faire partager…

Pour le mouvement...


Et pour le son, à titre informatif...

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